J’allais voir les filles, j’avais pas quinze ans [first line] (AU1998-1070-013)
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“J’allais voir les filles, j’avais pas quinze ans” (“I Went to See the Girls, I Wasn’t Yet Fifteen”) is a song with a complex and ancient lineage which includes both mild-mannered nursery rhymes (and defiantly obscene schoolyard parodies) as well as a narrative song about a precocious teenager whose amorous ambitions are quashed by his mother. Alberta Gagné’s song falls into the latter category. Her particular version seems to have been popular in Franco-American Vermont in the mid-to-late 20th century. The Desrosiers Family Collection at the Vermont Folklife Center includes both highly similar hand-written lyrics (VFC2011-0009 Desrosiers Family Collection. MS 2011-3212-002 Pp. 2-4) as well as an equally similar 1983 sound recording of family member Rose Bourgeois (“J'allais Voir les Fille J'avais pas 15 Ans,” Vermont Folklife Center Digital Collections, accessed November 21, 2020, http://explore.vermontfolklifecenter.org/digital-archive/collections/items/show/1709.) All three versions have the same narrative as well as essentially identical refrains.
Franco-American Aliette Couturier of Lewiston, Maine sang a slightly different version with a totally different refrain for a 2017 Ethnomusicology class recording project by Colby College students. You can hear this version, sung by Les Troubadours, a Franco-American women’s vocal group on the Franco Memory Through Song website which the students created for this project: http://web.colby.edu/memorythroughsong/quand-jetais-petit/
Versions of Alberta Gagné’s song have also been documented in France, Belgium, Quebec, New Brunswick, Ontario, and Louisiana.
Abstract
Source
Date
Rights
Relation
Language
Identifier
Song Item Type Metadata
Standard Title Reference
First Line
Transcription
J'allais voir les filles, j'avais pas quinze ans, [x2] ;
J'allais voir les filles j'avais pas quinze ans. [x2]
Pour les embrasser je montais su' un p'tit banc.
[Refrain] :
Ça commence à s'étendre dans les bras pis dans les jambes,
Ça commence au septembre jusqu’au mois d'janvier. [x2 both lines]
Pour les embrasser j’montais su’un p’tit banc, [x2]
Pour les embrasser j’montais su’un p’tit banc. [x2]
J'aperçus v’nir ma mère avec un bâton.
Refrain
J'aperçus v’nir ma mère avec un bâton, [x2]
J'aperçus v’nir ma mère avec un bâton. [x2]
‘Marche à maison, crapaud d'enfant.
Refrain
Marche à maison mon, crapaud d'enfant, [x2]
Marche à maison mon crapaud d'enfant. [x2]
Tu iras voir les filles quand t'auras trente ans.
Refrain
Tu iras voir les filles quand t'auras trente ans, [x2]
Tu iras voir les filles quand t'auras trente ans.” [ x2]
Je me suis marié j'avais quarante ans.
Refrain
Je me suis marié j'avais quarante ans, [x2]
Je me suis marié j'avais quarante ans. [x2]
Au bout d'un an, j'avais quatre enfants.
Refrain
Au bout d'un an j'avais quatr' enfants, [x2]
Au bout d'un an j'avais quatr' enfants. [x2]
Mon père m’a dit : “ Ça c'est écœurant. ”
Refrain
Mon père m’a dit : “ Ça c'est écœurant. ” [x2]
Mon père m’a dit : “ Ça c'est écœurant. ” [x2]
À mon âge j’en faisais autant.
Refrain
Translation
It’s starting to expand, in the arms and in the legs,
It begins in September and goes until January.
laisse; 10-syllable lines (“an” end-rhyme), nine lines; call-and-response
Interviewer
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